Les gros mots dans le bureau poussent à être plus productifs : non seulement ils combattent le stress, mais ils contribuent aussi à créer une solidarité entre les collègues.
C'est le résultat d'une étude faite par la Norwich University of East Anglia, selon laquelle l'utilisation des mots tabù développe un esprit de groupe sur le lieu de travail. Yehuda Baruch, le professeur qui a mené cette étude, affirme que les dépendents utilisent souvent un langage vulgaire qui n'est pas à considérer nécesserement négatif. Il s'agit plutôt d'un phénomène social et psychologique qu'on devrait pas condamner.
Cela dit,Baruch suggère une politique qui autoriserait cette méthode. Cependant, il ne conseille pas d'adopter cette attitude devant les clients, les dirigents ou les collègues plus agés. Selon cette étude, il y a un rapport entre âge et langage informel. Les jeunes professionels sont plus tolérants face à l'utilisation des gros mots et la considère un acte acceptable.
Toujours selon Baruch, les femmes disent des vulgarités beaucoup plus que les hommes ! Enfin, il invite les directeurs à accepter cette attitude car les gros mots font partie de notre vie quotidienne.
Bein, certains travailleurs de nos contrées ont déjà adopté ça depuis des années sans passer par ce genre d'étude sympa...
Vivement "gli mortacci vostri..."
C'est le résultat d'une étude faite par la Norwich University of East Anglia, selon laquelle l'utilisation des mots tabù développe un esprit de groupe sur le lieu de travail. Yehuda Baruch, le professeur qui a mené cette étude, affirme que les dépendents utilisent souvent un langage vulgaire qui n'est pas à considérer nécesserement négatif. Il s'agit plutôt d'un phénomène social et psychologique qu'on devrait pas condamner.
Cela dit,Baruch suggère une politique qui autoriserait cette méthode. Cependant, il ne conseille pas d'adopter cette attitude devant les clients, les dirigents ou les collègues plus agés. Selon cette étude, il y a un rapport entre âge et langage informel. Les jeunes professionels sont plus tolérants face à l'utilisation des gros mots et la considère un acte acceptable.
Toujours selon Baruch, les femmes disent des vulgarités beaucoup plus que les hommes ! Enfin, il invite les directeurs à accepter cette attitude car les gros mots font partie de notre vie quotidienne.
Bein, certains travailleurs de nos contrées ont déjà adopté ça depuis des années sans passer par ce genre d'étude sympa...
Vivement "gli mortacci vostri..."
2 commenti:
je confime absolumet les deux resultat de l'etude:
1-Les gros mots dans le bureau poussent à être plus productifs
2-les femmes disent des vulgarités beaucoup plus que les hommes:
et putain!!!! qu'est ce qu'elles peuvent dire comme vulgarités quand elles se lachent!!!!!! elles deviennent meme tres tres créatives!
Je confirme aussi que les gros mots rendent plus productifs.
Je ne pense pas que les femmes sont d'une vulgarité orale qui dépasse celle des hommes. Il ne s'agit pas d'un concours.
Pour nous, dans les différents cabinets juridiques où j'étais, c'est juste un stimulant, pour augmenter notre rage de vaincre ou de baiser l'adversaire d'un client, dans les limites qu'offre le droit, bien entendu :o)
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